L’accord, qui entre en vigueur dès l’année prochaine, est annoncé comme un tournant dans les relations économiques entre ces deux pays dont les Produits intérieurs buts (PIB) combinés font plus de 60 % du PIB total de la sous-région ouest-africaine, rapporte le journal ghanéen Daily Graphic.
Le Nigeria est le pays le plus peuplé d’Afrique et le premier producteur de pétrole du continent. IL est classé parmi les nations émergentes du monde.
En Afrique de l’Ouest, le Nigéria fait figure de géant et concentre à lui seul plus de 85 % de la production pétrolière et gazière de la sous région, selon des informations rassemblées par Ouestafnews. En outre le pays abrite la deuxième plus grande place financière en Afrique avec la Nigerian Stock Exchange et le Nigeria est classé par certains experts parmi les économies émergentes.
Quant au Ghana, il est le deuxième producteur d’or africain et connaît depuis plus d’une décennie une croissance économique assez soutenue de son économie. A ces performances économiques s’ajoute une stabilité politique permettant au pays d’attirer beaucoup d’investissements directs étrangers.
”Les deux pays sont bien placés pour profiter des accords régionaux dans le domaine commercial ; mais notre incapacité à surmonter certains obstacles ne militent pas en faveur d’une intégration économique totale”, a affirmé Alhaji Aliu Mahama, le vice-président du Ghana lors d’une rencontre entre les hommes d’affaires des deux pays.
Il a ensuite invité les responsables de la Chambre de commerce et d’industrie nigériano-ghanéenne (GNCCI) à ne ménager aucun effort pour la mise en application des protocoles d’accords économiques signés au niveau sous régional.
Selon le responsable ghanéen, ces protocoles initiés il y a quatre ans, comme le tarif extérieur commun, la suppression des barrières routières et d’autres pratiques restrictives au commerce de la part de certains pays membres pourraient faciliter davantage les affaires dans la sous-région.
La Chambre de commerce et d’industrie nigériano-ghanéenne a été également invitée à libéraliser le commerce entre les deux pays, tout en créant des opportunités d’investissements, et à mettre en œuvre les protocoles signés dans le cadre de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO).
La CEDEAO, qui regroupe 15 pays d’Afrique de l’Ouest francophone et anglophone, a adopté plusieurs conventions et protocoles supposés, favorisé les échanges commerciaux et l’intégration économique entre les différentes nations membres.
Le Nigeria est le pays le plus peuplé d’Afrique et le premier producteur de pétrole du continent. IL est classé parmi les nations émergentes du monde.
En Afrique de l’Ouest, le Nigéria fait figure de géant et concentre à lui seul plus de 85 % de la production pétrolière et gazière de la sous région, selon des informations rassemblées par Ouestafnews. En outre le pays abrite la deuxième plus grande place financière en Afrique avec la Nigerian Stock Exchange et le Nigeria est classé par certains experts parmi les économies émergentes.
Quant au Ghana, il est le deuxième producteur d’or africain et connaît depuis plus d’une décennie une croissance économique assez soutenue de son économie. A ces performances économiques s’ajoute une stabilité politique permettant au pays d’attirer beaucoup d’investissements directs étrangers.
”Les deux pays sont bien placés pour profiter des accords régionaux dans le domaine commercial ; mais notre incapacité à surmonter certains obstacles ne militent pas en faveur d’une intégration économique totale”, a affirmé Alhaji Aliu Mahama, le vice-président du Ghana lors d’une rencontre entre les hommes d’affaires des deux pays.
Il a ensuite invité les responsables de la Chambre de commerce et d’industrie nigériano-ghanéenne (GNCCI) à ne ménager aucun effort pour la mise en application des protocoles d’accords économiques signés au niveau sous régional.
Selon le responsable ghanéen, ces protocoles initiés il y a quatre ans, comme le tarif extérieur commun, la suppression des barrières routières et d’autres pratiques restrictives au commerce de la part de certains pays membres pourraient faciliter davantage les affaires dans la sous-région.
La Chambre de commerce et d’industrie nigériano-ghanéenne a été également invitée à libéraliser le commerce entre les deux pays, tout en créant des opportunités d’investissements, et à mettre en œuvre les protocoles signés dans le cadre de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO).
La CEDEAO, qui regroupe 15 pays d’Afrique de l’Ouest francophone et anglophone, a adopté plusieurs conventions et protocoles supposés, favorisé les échanges commerciaux et l’intégration économique entre les différentes nations membres.